1. |
On fait du country
03:42
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On fait du country
Un vieux Pontiac, sur un ch’min d’terre
Une shot de jack, pour les soirs d’hiver
Le fleur-de-lysée, tatoué sur l’cœur
Aux vieux rêves usés, que le temps perd
C’est quatre accords et la vérité
Rentrer à bon port à la fin d’l’été
Une ride de truck, un wheelie dans garnotte
C’est la radio des picks-ups, et le bruit des bottes
On fait du country
On fait du country
On fait du bruit, on chante nos vies
On fait du country
Aux samedi soirs de fonds d’bouteilles
Aux lend’mains d’veille qui sont toujours pareil
Aux fins d’semaines, aux jours de paye
À nos grands-pères qui ont tapé la trail
On fait du country
Aux Molson Ex du vendredi
Aux belles barmaids du 4 jeudis
À toutes nos exs, et celles qu’on oublie
À celle qu’on veut garder pour la vie
À John qui gratte sa vieille Gibson
Qui crinque l’ampli mieux que personne
Aux mille après mille qui percent les nuages
Quand le soleil dit bonjour aux montagnes
On fait du country
On fait du bruit, on chante nos vies
On fait du country
Aux samedi soirs de fonds d’bouteilles
Aux lend’mains d’veille qui sont toujours pareil
Aux fins d’semaines, aux jours de paye
À nos grands-pères qui ont tapé la trail
On fait du country
À ceux qui croient que le country est mort
À ceux qui partent sans r’virer d’bord
À ceux qui nous poussent à chanter plus fort
Toujours rouler pour réécrire l’histoire
On fait du country
On fait du bruit, on chante nos vies
On fait du country
Aux samedi soirs de fonds d’bouteilles
Aux lend’mains d’veille qui sont toujours pareil
Aux fins d’semaines, aux jours de paye
À nos grands-pères qui ont tapé la trail
On fait du country
On fait du bruit, on chante nos vies
On fait du country
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2. |
Trop tard
03:23
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J’étais pu tout’ là
J’pense même que j’avais perdu l’nord
J’avançais de r’culons
En m’barouètant c’qui m’restait d’corps
J’t’ai trouvé dans l’silence
Toi pis tes trois cents millions d’peurs
J’t’allé t’sortir de ta cachette
Pour mieux pouvoir te briser l’cœur
Même si y’est trop tard
Laisse-moi dont te l’dire pareil
Même quand j’fête trop fort
Y’a juste ta voix entre mes deux oreilles
Même si des fois la vie veut pas toujours être belle
Laisse-moi dont
Faire briller ton soleil
J’me d’mande encore c’qui m’a poussé
À bin crisser mon camp
Faut croire que d’vivre heureux tou’é jours
Dans ma tête c’pas évident
J’me d’mande quand est-c’que tu r’viens
Pis quand est-c’que j’vas r’venir
De toutes ces trips soudains
Qui font rien qu’scraper mon avenir
Même si y’est trop tard
Laisse-moi dont te l’dire pareil
Même quand j’fête trop fort
Y’a juste ta voix entre mes deux oreilles
Même si des fois la vie veut pas toujours être belle
Laisse-moi dont
Faire briller ton soleil
Même si y’est trop tard
Laisse-moi dont te l’dire pareil
Même quand j’fête trop fort
Y’a juste ta voix entre mes deux oreilles
Même si des fois la vie veut pas toujours être belle
Laisse-moi dont
Même si y’est trop tard
Laisse-moi dont te l’dire pareil
Même quand j’fête trop fort
Y’a juste ta voix entre mes deux oreilles
Même si des fois la vie veut pas toujours être belle
Laisse-moi dont
Faire briller ton soleil
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3. |
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On rêvait d’une Coupe Stanley dans un Québec libéré
On parlait d’se pousser, sans savoir où aller
On buvait nos étés, sur des airs de country
On réchauffait nos soirées, au bar du BDT
On remplissait nos chars, de gaz et de bières
On montait vers le nord, pour défier la rivière
On usait nos guitares, nos rêves en bandoulière
On était les plus forts, on était les plus fiers
Les temps changent, et nous aussi
Les autres se rangent, et nous on survit
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
On entassait les milles, dans un vieux Cherokee
On régnait sur la ville, la pédale au plancher
On aimait les filles, on les laissait tomber
On croyait qu’être seuls, c’tait ça la liberté
Les temps changent, nous aussi
Et si on s’range, jamais on s’oublie
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Jeunesse éphémère, liberté météore
On est encore les plus fiers, toujours les plus forts
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Que l’bon Dieu nous pardonne, pour le meilleur, pour le pire
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
Parc’que les idées folles, font les plus beaux souv’nirs
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4. |
Réapprendre à rêver
02:46
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La route sous mes pieds
Se perd et se crée
Les vents, les marées
Me mènent au bout du quai
L’envie d’espérer
Que tout peut arriver
D’avoir une histoire
À raconter
Ohh Ohh
Se réinventer
Ohh Ohh
Et recommencer
Partir
Sans savoir
S’il valait mieux rester
Partir
Dans l’espoir
De réapprendre à rêver
On a beau dire
Pour le meilleur pour le pire
On a beau dire
Que le temps peut nous trahir
Si les jours sont comptés
Sous le poids des années
L’envie d’accrocher
Le monde à nos pieds
Ohh Ohh
Se réinventer
Ohh Ohh
Et recommencer
Partir
Sans savoir
S’il valait mieux rester
Partir
Dans l’espoir
De réapprendre à rêver
Chanter la liberté
Sous les étoiles de Gaspé
Suivre la rivière
Qui me coule à travers
Partir
Sans savoir
S’il valait mieux rester
Partir
Dans l’espoir
Partir
Sans savoir
S’il valait mieux rester
Partir
Dans l’espoir
De réapprendre à rêver
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5. |
Lac Labonté
02:45
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La poussière vole dans les airs comme dans un rodéo
Je salue Galarneau qui me colle à la peau
Mes rêves, mes idéaux jouent en stéréo
Pendant qu’la pédale au plancher bat le tempo
Gerry s’époumone dans la radio du char
Et les yeux d’ma copilote me font perdre le nord
Y’a du bonheur plein l’radar su’l’tableau bord
Pis’une coupl’ de bouteilles de fort traînent dans mon case de guitare
On pourrait partir, faire le tour d’la planète
Rien pour nous ret’nir, prendre la poudre d’escampette
Puis revenir, atterrir au Saguenay
Pour voir le soleil s’coucher sur le lac Labonté
Bien sûr la route est longue quand on roule sans répit
Qu’on dorme à la pleine lune ou bien dans un taudis
Quand ma liberté se bat pour sa survie
Elle fracasse les murs de l’interdit
Je rêve d’Abitibi, de rock, de Gaspésie
D’un peuple assez fort pour s’bâtir un pays
Si souvent quand j’te r’garde, je chante et je ris
C’est qu’à côté d’toi, tous les rêves sont permis
On pourrait partir, faire le tour d’la planète
Rien pour nous ret’nir, prendre la poudre d’escampette
Puis revenir, atterrir au Saguenay
Pour voir le soleil s’coucher sur le lac Labonté
On pourrait partir, faire le tour d’la planète
Rien pour nous ret’nir, prendre la poudre d’escampette
Puis revenir, atterrir au Saguenay
Pour voir le soleil s’coucher
On pourrait partir, faire le tour d’la planète
Rien pour nous ret’nir, prendre la poudre d’escampette
Puis revenir, atterrir à bon port
Les poches vides
Les poches vides
Les poches vides
Mais pleines d’histoires
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6. |
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J’ai usé de bord en bord
La 50, et mon corps
Fais une prière à chaque fois
Qu’y’avait une croix dans l’décor
Je sais qu’j’tavais promis
De tout faire pour rester
C’est l’histoire de ma vie
D’aimer pis d’m’en aller
S’il faut tenir la route
Et user l’odomètre
S’il faut se tordre le cœur
Jusqu’au dernier kilomètre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
Tsé qu’l’engag’ment
Ça coule pas dans mes veines
Mais j’compte sur toi
Pour que tu me l’apprennes
Quand t’auras un p’tit trésor
Qui pouss’ra, dans ton corps
J’accroch’rai mes patins
Pour attacher les siens
S’il faut tenir la route
Et user l’odomètre
S’il faut se tordre le cœur
Jusqu’au dernier kilomètre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
Partout autour
L’amour ne fait que passer
Moi j’compte les jours
Et les villes à traverser
S’il faut tenir la route
Et user l’odomètre
S’il faut se tordre le cœur
Jusqu’au dernier kilomètre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
Même si le ciel tremble
La maison n’est à vendre
J’ai usé de bord en bord
La 50 et mon corps
Fais une prière à chaque fois
Qu’y’avait une croix dans l’décor
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7. |
À travers les étés
03:11
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J’ai calé ma première bière
Avec Dave, Tony et Jer
Cachés dans la poussière
Du sous-sol à mon grand-père
On était les rois du monde
À 15 ans et d’mi
Avec un sourire de Joconde
Sur nos faux permis
Dans nos cœurs de bohèmes
On était déjà des hommes
Fiers comme les capitaines
Sur nos bouteilles de rhum
À travers les étés et les cœurs brisés
Les promesses envolées, sous la voie lactée
Quand je pense à eux, je fais un vœux
Pour les p’tits culs baveux, dev’nus grands bums heureux
J’ai eu mon premier kick
Pour les yeux verts d’la belle Judith
Pour qu’elle m’aime, j’écrivais des chansons
Puis j’ai joué au con
Quand elle me souriait
J’étais au paradis
On était le match parfait
Comme Agassi et Steffi
À travers les étés et les cœurs brisés
Les promesses envolées, sous la voie lactée
Quand je pense à elle, je fais un vœux
En espérant qu’au ciel, tout va pour le mieux
Avec mon premier band
On a fait les 400 coups
Entassés dans notre caravane
Le tout pour le tout
Au son du drum de Mat Bérard
On chantait faux et forts
Si bien gravé dans ma mémoire
Que j’y retourne encore
À travers les étés et les cœurs brisés
Les promesses envolées, sous la voie lactée
Quand je pense à eux, je fais un vœux
En remerciant l’bon Dieu, d’être un ti-cul chanceux
En remerciant l’bon Dieu, d’être un ti-cul chanceux
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8. |
Rien à personne
02:47
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Le soleil en feu
La poussière dans les yeux
L’espoir fougueux, les souvenirs brumeux
Et le crissement des pneus
Le 4 par 4
Le tailgate et le jack
Le pedal steel, du vieux country
De Willie dans l’tapis
J’ai mis mes rêves dans mon truck
J’ai mis mon truck sur drive
Parti, déjà loin, avant qu’le jour se lève
J’me tiens drette comme un homme
Comme un géant, comme un drum
Ma vieille guitare, ma bouteille de rhum
Je dois rien à personne
Suivre la track
Ou casser la baraque
Toujours rouler, souffrir, aimer
Partir ou rester
De bord en bord
C’est la ruée vers l’or
Mais nous on chante encore plus fort
Toujours le Willie dans l’tapis
J’ai mis mes rêves dans mon truck
J’ai mis mon truck sur drive
Parti, déjà loin, avant qu’le jour se lève
J’me tiens drette comme un homme
Comme un géant, comme un drum
Ma vieille guitare, ma bouteille de rhum
Je dois rien à personne
J’ai fais l’école buissonnière
J’ai fais pleurer ma mère
J’ai appris à me battre
Dans la cour en arrière
J’ai toujours crié
Quand on voulait me taire
J’ai mis mes rêves dans mon truck
J’ai mis mon truck sur drive
Parti, déjà loin, avant qu’le jour se lève
J’me tiens drette comme un homme
Comme un géant, comme un drum
Ma vieille guitare, ma bouteille de rhum
J’ai mis mes rêves dans mon truck
J’ai mis mon truck sur drive
Parti, déjà loin, avant qu’le jour se lève
J’me tiens drette comme un homme
Comme un géant, comme un drum
Ma vieille guitare, ma bouteille de rhum
Je dois rien à personne
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9. |
Travailler sobre
03:19
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Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
C’est juste qu’on n’est pas fait
Pour travailler sobre
Le soleil s’est levé
Su’l’ hood du Cherokee
Les bottes su’l’ dash
On chantait Johnny Cash
On a fait l’tour d’la map
Sans trop perdre la carte
Pas besoin d’bac
Pour compter les 24
On a scrapé les limites
Roulé su’l shift de nuite
Pogné tous les shortcuts
Pis dormi dans l’pickup
Que’qu’fois on a drifté
À côté d’la track
Ça nous apprendra à veiller
Avec Philippe Brach
Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
C’est juste qu’on n’est pas fait
Pour travailler sobre
Aux filles on a fait croire
Qu’on était des rockstars
En fait nos heures de gloire
C’est d’gueuler dans les bars
On a travaillé fort
Pour marquer les mémoires
C’est sûr’ment pas à soir
Qu’on veut les décevoir
Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
C’est juste qu’on n’est pas fait
Pour travailler sobre
Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
C’est juste qu’on n’est pas fait
Pour travailler sobre
On n’est pas les plus fiables
Quand on flirte avec le diable
Mais j’te jure que l’oncle Sam
Aura jamais notre âme
Nos promesses d’hier
Pour nous c’est d’la p’tite bière
Pense pas trop à demain
On risque d’être déjà loin
Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
Mon père a beau être con
Au fond y’avait raison
C’est vrai qu’on devrait
Se trouver des jobs
C’est juste qu’on n’est pas fait
Pour travailler sobre
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10. |
Profite de la ride
02:36
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Depuis toujours
Depuis haut comme trois pommes
Le son des tambours
Et ta voix qui résonne
Comme dans les yeux des légendes
Sur les murs de ta chambre
Rien pour éteindre la flamme
Sous les feux de la rampe
Ni le temps, ni l’automne
Ni le vent, ni personne
Ni ton père, ni tes notes
Ni la terre sous tes bottes
Quand le rideau se lève
Que le silence s’achève
Qu’on peut refaire le monde
L’instant d’une seconde
Quand faut taper sa trail
À travers les tempêtes
Fais confiance au ciel
Et profite de la ride
Dans tes chansons
Y’a les filles et la route
Sous ton blouson
Y’a les rêves et le doute
Y’a ceux qui voudrait briller
Sans rouler, sans bûcher
Toi t’as toujours préféré
Les backroads aux highways
Quand le rideau se lève
Que le silence s’achève
Qu’on peut refaire le monde
L’instant d’une seconde
Quand faut taper sa trail
À travers les tempêtes
Fais confiance au ciel
Et profite de la ride
Quand le rideau se lève
Que le silence s’achève
Qu’on peut refaire le monde
L’instant d’une seconde
Quand faut taper sa trail
À travers les tempêtes
Fais confiance au ciel
Quand le rideau se lève
Que le silence s’achève
Qu’on peut refaire le monde
L’instant d’une seconde
Quand faut taper sa trail
À travers les tempêtes
Fais confiance au ciel
Et profite de la ride
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11. |
Chez nous
03:37
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J’ai roulé dans une carte postale
Troqué la map pour les étoiles
Ça fait longtemps qu’j’ai mis les voiles
La Grande Ourse veille sur son royaume
La radio chante ‘’I’m coming home’’
Le vieux Cherokee a tenu l’coup
Terminus, liberté… bienvenue chez nous
Chez nous, les hommes se tiennent debout
Fiers d’être libres malgré tout
Les chiens se mêlent avec les loups
Chez nous, la nuit brille de mille feux
Même le silence est mélodieux
Chez nous on jure devant l’bon Dieu
D’aimer toujours du mieux qu’on peut
Chez nous, dans la langue de ma mère
Ça chante du Plume et du Vallières
Ça jase de cul, ça jase de char
Entre les rêves perdus, ça parle d’espoir
Chez nous, on trinque à notre santé
Aux Glorieux en février
Aux perséïdes les soirs d’été
Chez nous, on invente notre histoire
On s’fou d’la gloire ou d’être une star
Après deux whiskys, on croit encore
Qu’pour notre pays, y’est pas trop tard
Chez nous, dans la langue de ma mère
Ça chante du Plume et du Vallières
Ça jase de cul, ça jase de char
Entre les rêves perdus, ça parle d’espoir
Chez nous, dans la langue de ma mère
Ça chante du Plume et du Vallières
Ça jase de cul, ça jase de char
Entre les rêves perdus, ça parle d’espoir
Chez nous, dans la langue de ma mère
Ça chante du Plume et du Vallières
Ça jase de cul, ça jase de char
Entre les rêves perdus, on parle d’espoir
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12. |
Rivière Rouge
05:23
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|||
J’ai passé l’année
À l’autre bout du monde
J’ai passé mon temps
À compter les secondes
Une photo de toi
Pour guider mon ombre
Et le bruit de mes pas
À des milles à la ronde
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Parle-moi des pirates,
Parle-moi des trésors
Parle-moi des vieux frères
Qui rêvent encore
Parle-moi des ti-culs
Qui sont dev’nus des hommes
Des amours perdus
Emportés par l’automne
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Parle-moi des immortels
Des prières du frère Michel
De nos veillées aux chandelles
Dans la guitare de Raphaël
Joue-moi une toune de Cowboys
Fais-moi chanter sans boussole
Couchés sous les perséïdes
Tout d’un coup tout est possible
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Te souviens-tu de nous
De nos bons et mauvais coups
De nos étés passés
À se croire plus forts que tout
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
Rivière Rouge
T’es belle
Quand tu t’prends pour le ciel
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Phil G. Smith Québec
Phil G. Smith débarque au printemps 2019 avec On fait du country, premier album aux sonorités de country-rock américain.
Après avoir vu plusieurs chansons se tracer un chemin dans les palmarès, Phil récolte 4 nominations au Gala Country et une première à l'ADISQ.
En 2022, il lance On est encore là, avec un son country bien assumé, des mélodies nostalgiques et des airs qui appellent l’été.
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